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"L'humidité" (sic Binoche) de King Nadal lors de son hommage à Roland Garros souligne la prétention des politi/chiens et des "histrions.nes" de toutes sortes.

  • bernardmorlino
  • 26 mai
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 28 mai

La simplicité de Nadal est si loin des fausses gloires françaises qui sévissent à l'Eurovision de la chanson, sur la scène politique française, et à Cannes "la braguette" comme disait Léo Ferré. Nadal c'est l'anti-star par excellence, le contraire de Mbappé, Léa Salamé, L. Lafitte, Binoche, Macron, Trump, Poutine et cie. Donc une vraie star et pas une luciole de l'actualité.

Hommage à Rafael Nadal

Sur la terre battue de la porte d'Auteuil

Dimanche 25 mai 2025

Ce fut beau, émouvant, sans aucun sous texte politicard.

Dire qu'il a été sali par une professionnelle de la profession politique française qui l'a accusé de dopage !

Passons, ne retenons que le parcours de l'Espagnol 14 fois vainqueur à Roland Garros quand Noah l'a gagné une fois et Gasquet, zéro fois.

Nadal est du niveau de Pelé et Clay-Ali.

C'est une légende vivante, un monument du sport.

Il a accepté qu'on lui rende un hommage avec une simplicité désarmante.

Seul, en larmes, il n'a cessé de remercier ses proches, ses adversaires, le public, la France et aussi tous ceux qui travaillent dans l'ombre à Roland Garros qu'il est allé embrasser comme il le faisait chaque jour quand il venait jouer dans le tournoi.

Nadal est un gentleman.

C'est un homme bien élevé, un joueur de classe.

Un battant, un combattant.

Un joueur sur lequel on pouvait compter.

Il est vraiment humble. Il a cette humilité qui est si belle à voir.

Il y a peu à Cannes on a vu une vedette de cinoche confondre humilité et "humidité", j'en passe !

Affligeante diction pour une présidente de jury en plus. N'est pas Anna Magnani ou Gena Rowlands qui veut. Les deux dernières grandes comédiennes françaises restent Simone Signoret et Annie Girardot. Les autres sont des vedettes du Paf, des promotrices de parfum, des cintres pour grands couturiers.

Ce week-end, on a vu le locataire de l'Elysée se cacher du public pour saluer les footballeurs de la finale de la Coupe de France - une des plus minables de l'Histoire- pour éviter de se faire huer par le stade entier. Il faisait copain-copain avec les joueurs d'une manière emphatique, vulgaire, comme tout ce qu'il fait. On est loin de Charles de Gaulle présent sur la pelouse pour serrer la main des footballeurs. Imagine-t-on l'auteur de l'Appel du 18 juin 1940 se prendre une beigne par "Tante Yvonne" à la descente d'un avion ? Aux dernières nouvelles, ce n'était pas de la boxe mais du simple catch.

Ce week-end, on a vu aussi le capitaine de l'équipe de France de football tirer un penalty au lieu de l'offrir à Modric dont on fêtait le départ. On ne peut pas demander à un dépourvu "d'humidité" d'en avoir.

L'humilité on l'a vu avec Nadal face à Federer et Djokovic, qui sont venus le saluer, accompagnés de Murray.

Durant toute sa carrière, Nadal a donné une leçon de savoir vivre aux sportifs, aux acteurs et aux hommes politiques, et à tout le monde.

Il se considère comme un français en plus. Qui dit ça en France ?

Nadal sur le court central de Roland Garros a été la catharsis mondiale.

Avec lui, on a respiré la simplicité.

Si loin de la barbarie, de la connerie, de la suffisance, des sans talent qui se la pètent !

Nadal a remercier le public, sans donner aucune leçon.

Pas un mot de bourrage de crânes.

Pas de y'a qu'à.

C'est pas lui qui nous a dit comment voter, ainsi de suite.

Une vraie star qui ne nous considère pas comme du bétail à manipuler.

A Roland Garros, la terre est rouge, pleine de la sueur et des larmes de Nadal.

Ailleurs, elle est rouge pleine du sang des innocents.


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