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KING Lewis Hamilton domine Verstappen sur le ring de Silverstone au nez et à la barbe de Leclerc

Ce fut un combat de boxe, en F1, une conversation carrosserie contre carrosserie à 300 km/h, puis avec les mots. Verstappen est allé dans les cordes ! Quant à Leclerc, il a préféré fissa fila dans les vestiaires au moment capital. King Lewis dans le rôle de King M. Ali fut exceptionnel. Lumineux. Le champion des champions. Dans la soirée de son jour à zéro point, Max Vestappen s'est autorisé à dire que Lewis Hamilton lui avait manqué de respect parce qu'il avait célébré sa victoire alors que lui était à l'hôpital. Incroyable ! C'est lui-même qui manque de respect. Pour l'instant, le Néerlandais c'est rien du tout par rapport à Lewis Hamilton qui vient de lui donner un cours magistral de pilotage. Vestappen doit apprendre à lire une trajectoire et ne pas confondre un as du volant à une simple vedette du PAF comme Charles Leclerc qui lui s'est écarté pour laisser passer Lewis Hamilton en pleine domination du GP avec son bolide supersonique. Mercedes est supérieur à Ferrari. il n'y a pas de discussion. Le Commandore Enzo serait furax! Leclerc n'a pas le profil pour Ferrari c'est une erreur de casting. Quand on regarde la liste des pilotes Ferrari, on s'interroge: Ascari, Bandini, Lauda, G. Villeneuve, Pironi, Schumacher... Un apprenti n'a jamais piloté une Ferrari F1. On ne peut pas conduire une Ferrari comme les bobos (sans majuscules) errent en trottinette en plein Paris. Un pilote Ferrari doit toujours être dans le rouge, dans l'extrême avec dextérité, sinon autant prendre n'importe qui. Le rouge est la couleur de la Scuderia. Audace, audace, audace. C'est précisément ce qu'a King Lewis dont la conduite touche le public comme un musicien avec son instrument. Leclerc fait plus penser à un jockey qu'à un crack de F1. Il paraît s'être trompé de monture. Confusion de paddocks.

Le début du GP fut tout dans la symbolique. Lewis Hamilton attaqua son rival menaçant Max Verstappen pour lui dire: tu m'as enterré un peu vite, je ne suis pas encore mort, si tu veux un combat, le voilà ! Et le Néerlandais est allé valser dans les pneus tant il a perdu son self-control. Hamilton a un talent en nerf d'acier. Qui s'y frotte s'y brise: d'Alonso au fils Rosberg. King Lewis est le Federer de la F1. Sa conduite est sublime à voir. 165 000 anglais à Silverstone lui ont exprimé leur admiration (Plus de 360 000 sur le week-end). Enfin ! (Pour voir la F1, il faut payer un abonnement. Beaucoup d'Anglais ne voient jamais King Lewis)

Dimanche 18 juillet 2021

Grand Prix de Grande-Bretagne

1er Lewis Hamilton/ Mercedes

2 Charles Leclerc/ Ferrari

3 Valtteri Bottas/ Mercedes


Championnat du monde de F1 2021

1er Max Verstappen/ Honda Red Bull: 185 points

2 Hamilton/ Mercedes: 177 points


Fabuleux Grand Prix de Silverstone grâce à Lewis Hamilton. Parti en seconde position sur la grille de départ, derrière Max Verstappen, King Lewis était décidé à régner dans son pays. Il n’a pas fait comme les peureux footballeurs de l’équipe d’Angleterre qui ont refusé de jouer la finale de l’Euro 2020, tétanisés par l’enfant. King Lewis a mis d’emblée la pression. Appuyant sur le champignon dès le départ. Il a mis le feu à la course dès les premiers mètres, si bien que Verstappen a tout fait pour que King Lewis ne le dépasse pas, et ce qui devait arriver arriva : le Néerlandais ferma la porte et toucha la Mercedes de King Lewis mais c’est la Red Bull qui gicla dans la décor ! King Lewis n’a fait aucune faute. Il a attaqué en grand champion, et son jeune rival paniqué a perdu les pédales.

Les commentaires sur Anal + 100 % contre King Elvis depuis toujours, et encore plus depuis qu’il y a des Français et un Monégasque dans la F1 actuelle, attendaient avec impatience la sanction… contre King Hamilton ! Et elle arriva : dix secondes de pénalité. Une vraie honte : sont-ils aveugles ? Besoin de lunettes c’est certain, et surtout incapables de sentir une course, de renifler la conduite. Des incapables, des imposteurs et donc des menteurs. Ne croyez pas ce que disent les journalistes français qui roulent pour les pilotes français et pour Leclerc. Ce n'est pas Hamilton qui a poussé Verstappen ! Le candidat à la succession de King Elvis a voulu jouer avec le feu: il a perdu. En empêchant le Roi d'Angleterre de le dépasser, il s'est mis à la faute, et a été projeté hors piste. Il aurait dû laisser passer le plus grand pilote de tous les temps qui était pressant ! Hamilton dominait la course à 100 % des le départ, plus mordant, plus audacieux, plus tout et surtout pas plus dangereux. Les observateurs sont tous des voyants aveugles, à de rares exceptions ils ne vivent pas la course, n'ont aucune sensibilité et surtout une compétence au niveau zéro.

Retrogradé, King Hamilton est revenu à fond sur les premiers pour les avaler un à un. Il en a sous le capot ! Deux tours avant la fin, au 50e, il n’a fait qu’une bouchée du leader de la course, le Monégasque Leclerc qui lui a tellement eu peur de King Lewis qu’il l’a laissé passer, s’écartant comme un lapin effrayé par des phares. Et c’est ainsi que King Lewis remporta son 8e GP de Silverstone après ses succès en 2008, 2014, 2015, 2016, 2017, 2019 et 2020.

Hors course, Verstappen voit revenir au championnat du monde de F1, King Lewis sur ses talons, plus qu’à 8 points. King Lewis est devenu leader au 50e tour. Un signe du destin qu’il a forcé puisque le 13 mai 1950 eut lieu à Silverstone le premier GP de F1 de l’ère actuelle. Superbe anniversaire. En 1950, le vainqueur fut Giuseppe Farina sur Alfa Roméo.

Ce dimanche 18 juillet, King Lewis vient de remporter son 99e Grand Prix de F1. Hallucinant. Les mots manquent. Voilà ce qui s’appelle un champion, comme Federer, Nadal, Djokovic. La jeunesse (Verstappen et Leclerc) croit que l’ère Hamilton est derrière eux. Rendez-vous à la fin de la saison. King Lewis a démontré une nouvelle fois sa science de la course. Et du courage, de la maitrise, de la technique, de l’audace, de la réflexion, de la ténacité, que de qualités cher une même personne. Et bien sûr l’humilité des grands. On est loin des starlettes du sport qui rabaissent le sport au niveau du cinéma, de la chanson et de la littérature, qui nous vendent des zéros pour des héros.



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