Bardot, Nice, Eurovision, Festival de Cannes, C1, etc...

Cannes et les stars ? Rien à l'horizon. Les influenceuses ont remplacé les starlettes. Les stars sont absentes car inexistantes. On fabrique des vedettes comme ces ex miss météo mais on n'invente pas une star. Une star en France, c'est Gabin, Signoret, Delon, B.B., Ventura, Bébel... B.B. n'a pas peur des rides, sans doute parce que son coeur et son âme n'en ont aucune. Montaigne a dit que l'âme prend des rides aussi, parce qu'il n'a pas connu B.B. ! Bardot est la jeunesse éternelle: elle a troqué ses ours en peluche contre des animaux vivants. Ses détracteurs aboient quand B.B. passe.

A 90 ans, Brigitte Bardot conserve toute sa verve légendaire.

Jadis, elle accordait des interviews avec François Chalais.

Comme elle le dit en souriant: elle a connu la guerre !

En 2025, elle est toujours là.

C'est le contraire de la lâche, de la peureuse, de l'angoissée mondaine, de la pleurnicheuse.

A son niveau de notoriété mondiale, il n'y a plus qu'elle.

Toutes les autres ne sont plus de ce monde.

Beaucoup se sont retirées: Garbo, Dietrich...

D'autres se sont suicidées. La liste est longue.

Elle n'a jamais eu la langue dans sa poche.

Fuyant la pensée unique, elle pense ce qu'il dit et dit ce qu'elle pense.

Elle a plus fait avancer la condition féminine que toutes les icones inventées par les médias.

Elle est du niveau de Colette, Sagan, J. Baker, Piaf.

Elle a fait la mode, au lieu de la suivre.

Comme elle était belle on disait d'elle qu'elle était "la ravissante idiote".

Beaucoup de femmes se sont dénudées mais il n'y a qu'une B.B. et elle est Française. Elle était nue quand les autres ne font que se déshabiller.

En sport, l'OGCNice a fini 4e de L1, c'est bien mais le club aurait dû finir dauphin du PSG si les Aiglons avaient assuré le service minimum dans une longue séquence défaitiste. Le club est en vente. Son propriétaire préfère MU qui n'est plus qu'une usine à échecs.

L'Eurovision de la chanson: les médias ont invité sans cesse la chanteuse désignée, disant qu'elle allait gagner. Résultat: dans le lointain de la tête: 7e. Encore une fois raté. C'était couru d'avance avec une chanson larmoyante. Pour avoir une grande chance de gagner, il faut demander à Santa de représenter la France: elle a de la voix, du coffre, elle est pleine d'énergie, toujours positive, son sourire n'est pas factice, elle incarne une France pleine de punch. Santa c'est l'équivalent de Yamal, rien à voir avec les habituels pensionnaires du PAF.

Le Festival de Cannes est la vitrine de la bimbeloterie wokiste et cie.

Le rêve est mort sur la Croisette. C'est le cauchemar climatisé dans les palaces.

Ils dorment dans des chambres princières et ensuite ils nous gavent avec la misère du monde dont il serait les VRP dans la rue de la Pompe.

Il faut le répéter sans cesse: la couleur de peau, le sexe, la religion, la nationalité, tout ça ne compte. Seul le talent est important et doit faire la différence. Tout le reste c'est de la politique, ce repère de renégats professionnels. L'important pour les carriéristes c'est d'avoir un clan qui vous servent de tremplin: tout est bon, parti, lobby, etc... Servir le bien commun n'est pas le plus urgent, hélas ! Ils parlent souvent de révolution: savent-ils qu'elle a parfois lieu pour sauver les traditions ? Rien à voir avec le conservatisme. Il s'agit d'un sursaut de patrimoine commun. Quand une maison brûle, l'important c'est d'éteindre l'incendie. La recherche de son départ vient après la disparition des flammes. Et des cendres aussi.

La C1 ? Elle est acquise au PSG par toute la presse française.

Reste à jouer le match !

Que le moins bon perde.