De Sarkozy à Macron, du bracelet électronique à des chaussures Louboutin.

J'ai grandi dans la France du général de Gaulle.

Et je m'amoindri dans celle de Sarkozy et Macron.

En 2025, on voit un ancien président de la République courir dans les rues avec un bracelet électronique.

Et un autre en place se marrer à la télévision avec des images issues de l'I.A où on se moque de lui. Images pitoyables, grotesques, décadentes, dégradantes, bonnes pour plaire à du clientélisme visé consciemment. Digne de Vidéo-gag !

"Ce n'est pas drôle !", a lancé la journaliste indienne, Palki Sharma Upadhyay.

Invité à bavasser, au côté d'un mannequin de France 2, l'actuel locataire de l'Elysée a encore blablater à son habitude.

Cela rentre par une oreille et cela sort par l'autre.

Il est inaudible. Tellement content de lui-même. Narcisse plus Narcisse que Narcisse.

Presque 80 % d'électeurs n'en veux plus.

Quand il ne parle pas d'un portable aux portillons des autoroutes, il nous dit qu'il faut raccourcir les grandes vacances.

De cette soirée, je ne retiendrai que les semelles rouges de la pertinente journaliste indienne qui n'est pas une passeuse de plats, elle !

Et pendant cette émission pas un mot sur cette France où l'on nous poignarde à chaque coin de rue, mais chut ! faut pas le dire. Souvenez-vous, jadis ils ne voulaient déjà pas qu'on désespère Billancourt en parlant du Goulag.

Dans notre pays la peine de mort n'existe plus officiellement, sauf qu'elle est appliquée régulièrement chaque jour !

Un abolitioniste a clamé qu'un pays qui conserve la peine capitale est une nation qui apprend la barbarie à son peuple. Faut l'entendre une telle ânerie.

L'abolition ne se justifie que par le fait d'éviter l'erreur judiciaire.

Sinon, il n'y a pas de cadeau à faire aux ennemis de la société.