Le grand Isaac Hayes (1942-2008), magistral show man musicien.
En France, pendant quatre semaines on punit la jeunesse, une fois de plus.
Une vraie injustice de voir les lieux festifs fermés pendant quatre semaines.
Pendant ce temps, un politichien de la dernière pluie vomit sur le genre humain devant des foules nostalgiques du IIIe Reich. Il n'est pas le seul, il y a inflation dans le genre atroce.
Cet hiver 2021, il serait plus risqué d'entendre de la techno que d'écouter un ersatz de Philippe Henriot croire que la France va lui dresser un tapis rouge. La mégalomanie du personnage est effrayante. La médiatisation à outrance lui est montée à la tête. A l'audimat de la suffisance, il est sur le podium. Bien sûr, il ne vit pas aux crochets de ses mandats politiques des professionnels du mensonge mais cela ne suffit pas à le rendre audible à 100 %. Chasser les suffrages n'est pas une occupation qui favorise la nuance.
La majorité silencieuse lui clouera le bec au moment venu tant sa parole à mauvaise haleine.
Le meilleur de ce qu'il dit est de Chamfort et il se garde bien de le préciser tant il méprise son auditoire. On méprise toujours ceux qui se prosternent à nos pieds.
C'est un vieux disque rayé mille fois entendu qui flatte les électeurs pour mieux les berner.
Il ne suffit pas de mettre de l'huile sur le feu pour avoir le talent de plume de Drieu.
"Moins le blanc est intelligent, plus le noir lui paraît bête", a écrit André Gide.
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